La direction prétend agir pour la planète et dans l’intérêt des salariés. Mais sa propagande se heurte au mur de la réalité, car les faits sont là : les salarié.es paient cher le prix de ses décisions iniques.
SOBRIÉTÉ ÉNERGÉTIQUE OU SOBRIÉTÉ SOCIALE ?
Fermeture de sites, de 1 jour expérimental à 6 jours massifs, c’est une glissade dangereuse.
[Lire]Poussée par la médiatisation des suicides de l’été 2009 à France Télécom, la direction avait a été contrainte d’instaurer une veille sanitaire.
L’enquête triennale sur les RPS au sein du groupe a donc été introduit par l’accord d’entreprise du 6 mai 2010.
Cette enquête, construite par les organisations syndicales, la direction et le cabinet SECAFI agréé santé et conditions de travail, a identifié, lors de sa précédente édition, en 2021, le lien formel entre les restructurations et la souffrance au travail. Avec un taux de réponse, en très nette hausse, par rapport aux années précédentes, les résultats ont fait état d’une dégradation généralisée.
[Lire]Si on écoute notre DG, tout est merveilleux dans le meilleur des monde…sauf qu’en France, Orange coûte trop par rapport à ce que l’entreprise rapporte. Mais ne vous inquiétez pas, elle l’a dit : il n’y aura pas de plan social à Orange ! Tu es sûre de ça Christel ? Parce que dans notre filiale Viaccess–Orca, c’est bizarre mais un plan social est annoncé où 20 % des salariés doivent partir !
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Après le site parisien d’Alleray et Nice Besset, c’est le site de Marseille Saint-Mauront qui est victime d’une infestation de puces animales (à priori ce serait des puces de chats suite à un contrôle visuel confirmé par la Direction). Une première action de détection contre les punaises de lit sur le bâtiment C en février, puis des puces animales sur le C3 mi-juillet ensuite le A3.
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