Encore une fois ces projets font suite à des réorganisations liées aux à des jeux de chaises musicales entre entités/services.

Les enjeux et genèse de se projet ne sont pas clair.

Les collègues sont aujourd’hui blasés et résignés de tous ces projets…ces projets de réaménagements et déménagements n’apportent aucune plus valu à leurs conditions de travail (luminosité non équivalente à ce qu’ils avaient à PASTEUR, perte de mettre carrés, proximité des conseillés et donc des risques de nuisances sonores, etc…)

A l’été 2024, et alors que la seule CFE/ CGC signe un accord médiocre sur les modalités d’accompagnement des volontaires pour la « TEAM JOP 2024 », le syndicat SUD conteste notamment deux mesures : les aggravations de temps de trajet et les compensations au travail de nuit. Il saisit la justice en septembre 2024 sur le non-respect des accords déjà en vigueur dans le groupe sur ce deuxième point.

Vive la rentrée !

Vive l’anxiété !

Après avoir passé une « SUPERBE » période estivale dans les expectatives…entre les annonces faites juste avant les vacances :

…de la gouvernance BAYROU qui nous a balancé son intention de faire une économie de 44 Milliards sur notre dos pour son projet de budget 2026 pour la survie de notre système économique, qui n’aurait répondu à aucune urgence sociale ou écologique en démantèlement les services publics avec 3000 suppressions de postes et un tiers des départs non remplacés dans la fonction publique, gel de leurs rémunérations, la suppressions de 2 jours fériés, gel du barème des impôts, qui aurait mécaniquement induit plus d’impôts pour les plus bas revenus, la désindexation des retraites… Bref, ce budget et ces différents projets annoncés auraient constitué une véritable offensive contre les plus pauvres, les travailleurs et travailleuses, les retraité-es, et les chômeurs-euses.

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ENCORE DES TRAVAUX d’ENVERGURES

à MARSEILLE-MASSALIA,

et cette fois c’est pour les parkings X1, X2. 

Suite aux multiples remontées faites par les résidents et les représentants du personnel (DGI SUD), la direction n’a eu d’autres choix que de s’attaquer aux parkings souterrains X1 et X2.

Sécurisation et réfection des parkings : Reprise d’étanchéité (cuvelage, écoulement, portes coupe-feu), revêtement des sols, optimisation de place, etc.

Fermeture totale des parkings souterrains X1 et X2, de mi-août à septembre

Puis fermeture partielle jusqu’à la fin d’année.

Si tout se passe bien !

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Le coût de la vie étudiante a augmenté de 32% depuis l’arrivé au pouvoir de Macron en 2017.

Les 5€ d’APL supprimés au début de son mandat (ce qui avait fait un scandale national à l’époque) n’était que le début de la précarisation toujours plus croissante des étudiant-es

Ça ne peut plus durer !

SUD a réussi à faire voter au CSE de juillet une contre-proposition augmentant le montant de près de 100€ pour les petits QF pour l’Allocation Rentrée Scolaire (ARS) avec la CGT et FO.

SUD n’est plus aux tables des négociations mais travaille toujours pour votre intérêt.

Avis/Motivation SUD – PAPRIPACT 2025 DOGSE

Les élu-es SUD dénoncent depuis de trop nombreuses années des Plans Annuel de Prévention des Risques Professionnels et d’Amélioration des Conditions de Travail (PAPRIPACT) qui ne sont pas à la hauteur des ambitions de transformations que l’entreprise exige de ses salarié-es, sans compter les évolutions du monde sociale et environnementales qu’ils subissent.

Depuis de trop nombreuses années lors de la préparation de ces PAPRIPACT en CSSCT dans les unités respectives de la DOGSE, les représentant-es se sentent démuni-es face à une direction qui leur dit ne pas avoir la main sur les stratégies mener par la DRH-Groupe, Direction ORANGE France et Directions Métiers.

Le Budget 2026 présenté par le premier ministre est flou et inacceptable !

Ce sont encore les populations les plus pauvres et les plus précaires qui vont payer l’addition, alors que les grandes entreprises et les plus riches seront épargnés par les mesures d’austérité.

La réduction du déficit et la course aux économies vont lourdement peser sur la population.

• Le gel des minimas sociaux et des retraites, mais aussi les attaques contre les droits sociaux comme l’assurance maladie ou le chômage
• Le démantèlement des services publics va se poursuivre : 3000 suppressions de postes et un tiers des départs non remplacés dans la fonction publique, et aussi la poursuite du gel des rémunérations
• Suppressions de 2 jours fériés, gel du barème des impôts.
• Ect.

Ces mesures ne répondent à aucune urgence sociale ou écologique.

Cette politique cassera nos services publics et augmentera les inégalités.

Pour SUD, d’autres choix sont possibles, il existe des solutions qui intègrent les plus hauts revenus comme la contribution des entreprises.

Orange présente le 3 juillet Regain au CSEC. Regain, ce sont « les réflexions » pour une nouvelle grande réorganisation qui serait mise en œuvre début 2026. Preuve que les réflexions sont déjà très avancées.

Autant dire que tout est déjà bouclé, peu importent les remontées des syndicats ou des salariés, seules quelques virgules devraient bouger.

Pourquoi une telle réorganisation ?

Comme à chaque réorganisation, Orange utilise les mêmes vieilles ficelles (simplifier le fonctionnement, une meilleure efficacité opérationnelle, dégager plus de bénéfices…) pour nous proposer une nouvelle organisation qui sera bien meilleure que la précédente qui était déjà bien meilleure que la précédente.

Depuis plusieurs mois, la liste des licenciements directs ou indirects ne cesse de s’allonger et aucun secteur n’est épargné : l’industrie, le luxe, l’automobile ou les centres d’appels. Cette situation ne nous étonne pas, tant le modèle économique capitaliste a toujours utilisé ce levier pour accroître ces profits. Pour que ça change, nous devons unifier les secteurs attaqués pour construire une mobilisation d’ensemble !

De Michelin à Arcelormital, en passant par Valéo et Stellantis, la saignée industrielle se double d’une amputation de dizaines de milliers d’emplois dans toutes sortes d’entreprises du commerce et des services. A chaque fois, ce sont des personnes envoyées à la case chômage sans réelles perspectives de reconversion, souvent après 20 ou 30 ans de travail. A chaque fois, aux difficultés sociales et personnelles s’ajoute la colère de voir beaucoup de ces groupes ou entreprises avoir été arrosés d’exonérations fiscales et d’aides publiques.