Si le jugement du 20 12 2019, confirmé en appel, démontrait en quoi un harcèlement moral pouvait prendre une forme institutionnelle, les dirigeant.es condamné.es ont usé de tous les moyens juridiques pour tirer leur épingle du jeu.
A contrario, l’entreprise France Télécom-Orange s’en était abstenu, au soulagement des familles et des Organisations Syndicales. Leur défense, lors de l’audience du 13 novembre 2024, reposait sur l’artifice de la seule responsabilité de l’ex-DRH, Olivier Barberot - qui s’était opportunément, peut on se demander, désisté de l’appel - ou sur un déni de réalité assez effarant.
[Lire]